Islamisme en France, mais que se passe-t-il ? Résistance !
Les femmes avant et après le passage de l'autre côté du miroir..
Ici, c’est sur France 2, à une heure de grande écoute qu’une certaine Wiam Berhouma, professeur d’anglais, ( grâce à la république qui lui a donné sa chance) présentée comme apolitique mais qui est en fait, membre d’un obscur mouvement que je ne nommerais pas, (ce serait leur faire de la publicité), qui s’adresse dans un discours assez ambigu mais surtout anti-Français et anti-juif, sous couvert de dénoncer un racisme antimusulman, à un Finkielkraut avec lequel on peut avoir des divergences mais à qui on ne peut reprocher l’incompétence et le manque de culture et que l’on tente de ringardiser et que l’on insulte devant le sourire d’un Pujadas complice ?
Là, c’est un autre discours bien plus inquiétant, tenu par un certain Sihamedi Idriss, président de l'ONG musulmane dénommée Baraka city, (crée il y a quatre ans, déjà 16 millions € de dons dont des footballeurs très connus… faisant partie de l’équipe de France ? Et 600 000 sympathisants) qui se dit musulman normal, mais qui devant une Najat Belkacem étonnamment discrète, déclare refuser de serrer la main aux femmes. Dans cette émission de Canal Plus, le barbu déclare « «Comme certains rabbins, je ne serre pas la main aux femmes», (habile réponse). Quand le journaliste lui demande s’il condamne l'Etat islamique, celui qui se présente comme «un musulman normal» rétorque qu'il «est gêné par la question». «Ce n'est pas qu'on ne condamne pas l'Etat islamique, c'est qu'on essaye d'avoir une certaine pédagogie pour essayer de discuter avec les jeunes et pour leur faire comprendre qu'on est une alternative qui est bien, qui est pacifique». Dans le reportage qui lui était consacré, il faisait l'éloge d'un «djihad pacifique et humanitaire». «S'ils tuent, s'ils brûlent des gens dans des cages etc, je ne vais pas vous dire oui. S'ils tirent sur des femmes enceintes, je ne vais pas vous dire “non, je ne condamne pas”».
Réponse ambigüe, s’il en est, mais discours exemplaire, qui certes, permet à l’observateur averti de mesurer le danger qui se développe sous nos yeux et donne aussi une tribune à ces chantres du barbarisme, dans laquelle ils s’empressent de s’engouffrer avec des mots et des attitudes parfaitement calibrés et maitrisés.
C’est donc, avec un systématisme réfléchi et intelligent que ces salafistes et autres déguisés, mais les femmes ne sont pas absentes, ciblent une catégorie de français bien déterminée : ceux qui se cherchent, c’est-à-dire souvent les jeunes, les musulmans en général, en faisant en sorte de démontrer qu’ils seraient la cible d’amalgame et de racisme. Ils s’adressent à eux en relativisant, sous couvert de normalité et d’ orthodoxie pacifiste, (terme nouvellement employé) pour cacher leur islamisme radical, en expliquant par exemple, que le fait de ne pas serrer la main des femmes est normal et que pour éviter l’adultère, la polygamie est la solution.
Cette réalité-là devient un quotidien, activement relayée désormais par des journalistes plus inconscients que complices, par des medias aveugles et irresponsables parce que cela fait audience.
Insidieusement ces idées reçoivent un écho, sont relayées et se développent avec la complicité d’un certain nombre de personnes appartenant à des milieux divers, journalistique, artistique, culturel, sportif.
Sous prétexte qu’au nom de la tolérance que nous devrions avoir envers eux, mais dont ils sont incapables de témoigner envers nous, il faudrait donc, les laisser développer leur choix, sans réfléchir un seul instant au risque de banalisation et d’instrumentalisation.
Ainsi, le combat contre Daesh et le terrorisme islamiste, qui est une nouvelle peste noire à défaut d’être brune, ne peut se réduire à la seule intervention armée au-dehors de nos frontières.
Car, le combat a lieu désormais sur notre sol. C’est un combat de nos valeurs contre les leurs et les nôtres restent fragiles. En effet, il suffit à peine d’une génération pour que les références morales communément admises bougent dans un sens ou un autre. L’exception d’aujourd’hui peut devenir le quotidien de demain. Cela commence par des horaires de piscine aménagé pour les femmes, les crèches communautaristes, l’interdiction possible du maillot de bain sur les plages ou la stigmatisation des femmes dites dénudées lorsqu’elles sont en robe ou se mettent du rouge à lèvres, la discrimination hommes femmes dans les hôpitaux, et le refus qu’une femme soit soignée par un médecin homme, les menus différenciés selon la religion dans les écoles, le refus de l’enseignement de certains programmes d’histoire, la non-participation des filles aux cours de gymnastiques… Ces exceptions deviendront-elles la normalité ?
Alors nous devons avoir le courage d’affirmer notre droit à la défense des valeurs de la République.
Ces déviants funestes, ayatollahs de l’intolérance, parfaitement formés, intelligents ont des objectifs bien précis, des buts de guerre identifiés et veulent tout simplement, détruire notre société en banalisant leur haine des juifs, des chrétiens, des femmes, de la musique, de l’alcool, de la culture en s’appuyant sur une religion devenue instrument politique, un islam orthodoxe en quelque sorte, et le mot n’est pas anodin, c’est-à-dire radical, dans le but dans un premier temps de briser notre pacte républicain, puis d’imposer leur loi.
Notre société est en train de basculer, certaines de nos entreprises sont désormais touchées par des actes radicaux parfaitement identifiés mais face auxquels il y a une certaine forme d’impuissance et d’incompréhension comme à la RATP, à Air France et ailleurs où les syndicalistes dénoncent sans être écoutés des faits de radicalisation souterraine et latente, qui se traduisent par le refus de toucher le volant d’un bus préalablement conduit par une femme, par exemple.
Alors, il faut désormais le dire, taper sur les bobos, socialo ou pas, ou bien rejoindre les rangs d’un parti frontiste sous prétexte qu’il a dénoncé le danger avant les autres, ne suffiront pas. C’est une lutte à mort qui commence, puisqu’ils ont juré notre perte, serrons les rangs. Résistance !
Roland Pietrini
Janvier 2016
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