Les reco-air.. Une histoire inconnue de la MMFL
Savoir reconnaître à 100 mètres d'altitude, en une fraction de seconde, l'intérêt d'un détail était le privilège des observateurs confirmés et, surtout, le résultat de plusieurs années de travail et d'expérience…
….L'expérience se transmettait ainsi d'observateur à observateur, tous volontaires pour ce genre de mission, et la connaissance du terrain ainsi acquise, tant au sol qu'en vol, était unique et permettait d'obtenir des résultats du même niveau que ceux des Alliés.
L'exploitation de résultats demandait, au retour, un temps de travail beaucoup plus long que le temps de vol car il fallait analyser dans le détail et situer toutes les photos prises avant de rédiger la note de renseignement correspondant, avec les résultat essentiels….
Suite sur http://www.16va.be/vols_mmfl_part1_fr.html
A découvrir aussi
- A propos de la grève des controleurs aériens
- L'un d’entre eux s’appelait Loïc Le Page
- Une exfiltration risquée. toute ressemblance avec des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite ( suite)
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 1145 autres membres